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Anarchistes et révolution

Discussion dans 'Discussion générale' créé par pschrsrgnc, 24 Octobre 2017.

  1. pschrsrgnc
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    pschrsrgnc Guest

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    Les révolutions participent qu'elles soient culturelles, politiques, sexuelles,d'indépendances où autres elles restent tendancieuses,provisoires par leurs accès voire éphémères.
    Dans l'immédiateté, sont nécessaires au renouveau mais, passées ne remédient pas de façons exclusives à l'iniquité.
    Ce sont des 'tremplins' ,elles sont contributrices sans être absolues.Elles sont génératrices, accessoires, adventices.
    L'exemple de la libération sexuelle,amputée du respect qui lui est du ,qui va de pair,devient goguenarde tant les 'gougnafiers' en abusent!
    La constance, elle appartient à l'anarchie. Elle participe à l'émancipation sans s'en prévaloir uniquement. Elle est:état d'esprit,contre-pouvoir,oppositionnelle, pensive et reviviscence pouvant se calquer provisoirement sur révolution. Elle y contribue,y supplée comme 'stimulus' des suppliques non entendues.
    Linéaire,cursive,tracée rapidement,même curviligne ayant sa propre nomenclature,diligente excluant les fioritures où,plutôt élaborée,distincte des zélotes avides de pouvoir et d'assouvissements, dissidente,la scission devenant formelle.Nonobstant, qu'euclidienne qu'elle soit, dans son corollaire révolutionnaire, elle n'en est qu'une composante affiliée faisant face aux 'néo-principats',sans y être subalterne.Sous- jacente.
    Intégrée à l'idéal révolutionnaire, intime, interprétée comme telle, peut elle se prévaloir,s'affubler de cette 'unicité' qualifiquative qui contribuerait aux seuls révolutionnaires ?N'est elle pas autre que 'calque' obsolète?Comment s'ingénier à la rendre vivace,vivante,existentielle, contributive, accolée à révolution sans en être son apanage exclusif?
     
  2. kuhing
    Offline

    kuhing Membre du forum Compte fermé Membre actif

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    Juin 2017
    Alors pour répondre simplement à ta question, j’en dirai que
    depuis la nuit des temps on sait qu’un état de pensée dégradé et post-hallucinatoire constitue une fonction avancée de l'indécidabilité telle que démontrée par ses propres variables dans un système formel tout en étant anti-conformiste voire rebelle.

    Mais il faut reconnaître que le surnaturel imaginaire aurait cette filiation maintenue de la cohérence, que ce qui excède intérieurement le tout ne va pas plus loin qu'à nommer le point limite de ce tout. Le tout étant un rien augmenté de peu.
    Et encore cela dépend de la vitesse et de la conjecture avec laquelle on aborde la théorie révolutionnaire post-synaptique, voire neuronale.
    Pour être clair, j’ajouterai que c'est la raison pour laquelle je crois que la vérité de l'hypothèse anarchiste voire au moins du continu ferait loi de ce que l'excès dans le multiple n'a pas d'autre assignation que l'occupation de la place vide, que l'existence de l'inexistant propre du diviseur initial.

    Si tu vois ce que je veux dire.
    Mais j’admets que ça peut s’envisager.
    Toujours est-il que non et cela depuis seulement le dix-neuvième siècle et peut-être même jusqu’au début du vingtième.
    Ce qui reste, on l’admettra, assez étonnant, et même détonant pour un esprit cartésien.
    Et encore, il n’est point question ici de lutte de libération nationale qui serait une oxymore ( comme on l’aura aisément compris ).