Fermeture des Abattoirs

Marche pour la fermeture des abattoirs
Il est grand temps de revendiquer haut et fort l'abolition des pratiques qui causent les plus grands torts aux animaux : l'élevage, la pêche et l'abattage.

On estime que chaque année dans le monde, ce sont ainsi 60 milliards d'animaux terrestres et plus de 1000 milliards de poissons qui sont tués sans nécessité, soit environ 160 millions d'animaux terrestres et 3 milliards de poissons tués chaque jour.

La Marche pour la fermeture des abattoirs a pour ambition de provoquer le débat, de faire réfléchir à la place que nous accordons aujourd'hui aux animaux et à celle qui pourrait être la leur demain. Chaque année, de nouveaux pays se joignent à la revendication.

Organisez-la dans votre pays
En 2018, cette marche aura lieu le 9 juin.

Afin de ne pas rater les informations relatives à la marche parisienne et aux suivantes, il est possible de s'inscrire à la lettre d'information de L214.

Marche pour la fermeture des abattoirs Marche pour la fermeture des abattoirs

Et aussi:




Merci à toutes et tous pour ce weekend de militantisme et de bienveillance ! On espère chaque année faire avancer les choses pour les animaux, ouvrir les consciences et les coeurs ♡ On se donne rendez-vous l'année prochaine pour continuer le combat ensemble !

Depuis 2001, La Veggie Pride réunit les personnes qui s'opposent à l'exploitation des animaux. Nous pouvons faire la différence en refusant le spécisme, ENSEMBLE.
Vous voulez vous impliquer ? Devenez bénévoles et partagez l'info autour de vous.
Le spécisme, c’est discriminer arbitrairement les êtres d'après un critère d’espèce. C'est se permettre d’exploiter les animaux simplement parce qu’ils ne sont pas humains.
> Chaque année dans le monde, près de 70 milliards d’animaux vertébrés terrestres et plus de 1000 milliards d'animaux aquatiques sentients sont tués pour leur chair et autres produits alimentaires. Le spécisme nous conditionne à accepter cette violence inutile. Combattons ensemble pour mettre fin à ce système !







À DÉCOUVRIR
Manifeste de la Veggie Pride

Veggie Pride Paris

 

Alors, j'essaye de lancer un petit débat ici, je ne sais pas si c'est le bon et désolé si mes propos peuvent être vus comme provoquant ou maladroits mais j'aimerais pouvoir comprendre certaines choses.

Je comprends très bien ce mouvement sur la souffrance animale, j'en suis conscient et il est vrai que nos pratiques actuelles sont vraiment à revoir. Je suis moi-même en pleine réflexion sur mon alimentation.

Mais étant "pêcheur" je suis, malgré tout, loin de me voir comme un dangereux mal-traiteur extrémiste. Je ne doute pas que je "dérange" le poisson hein. Mais il existe des techniques qui peuvent limiter au maximum cette gêne.
Hameçons sans ardillons par exemple qui limite largement le piquage du poisson donc sa souffrance, le délai de décrochage et sa "prise en main" par le pêcheur.
Alors, certes, ce n'est pas la perfection, je serai toujours en train d'emmerder le poisson mais difficile de remettre en question une passion d'enfance.

Je suis preneur de toute idée, toute référence, etc. Si cela permet de faire avancer un débat qui me semble hyper important pour notre avenir à tout-e-s, nous êtres vivants que nous sommes, mais trop souvent intolérant (d'un coté comme del'autre) ce qui m'a toujours bloqué dans ma recherche d'une nouvelle compréhension des choses.

 

Je n'ai jamais chassé mais je garde un souvenir ému, gamin, d'une partie de pêche à la truite, en eau sauvage, avec mon père Cette truite que j'entr'apercevais à dix centimètres de mon hamaçon, la patience qu'il m'a fallu...

Se vider la tête, peinard, au bord d'un étang. Le silence seulement percé par le chant des oiseaux
Il n'y a que quelques années que j'ai pris conscience du fait que les poissons aussi pouvaient souffrir, ressentir. Qui voudrait être tiré de son appartement avec un crochet dans la bouche ?

Il y a la souffrance, la conscience, animale et l'intérêt de pratiques ancestrales.
Chasser et pêcher par obligation car perdu en pleine nature ? Oui mais quel intérêt à part ça de chasser du faisan ou de la truite d'élevage ?

Tes questionnements, je ne suis pas (encore ?) végétarien, je les partage je crois mais tu es face à un choix personnel que les discussions et les lectures vont nourrir peu à peu.

Dans cette démarche, dans cette progression vers une attitude moins carnivore (au sens large cad en prenant compte de la souffrance animale), l’extrémisme de certain(e)s végans, végétaliens ou autres, est un frein plus qu'une aide...
Des associations, L215 merci, sont indispensables dans la prise de conscience mais il vaut mieux, de mon humble point de vue, convaincre que convertir de force.

 

J'ai bien conscience de ce genre de situations Rubis, moi-même avec le recul je me rend compte que j'ai eu des propos assez malsains par-rapport aux végans.

Mais, aujourd'hui, je suis dans ce stade de réflexion où je me dis qu'il serait temps de limiter mon impact sur l'environnement du mieux que je peux. Je n'en suis qu'à un stade réflexif, je l'admet. C'est pour cette raison que j'essaye de me renseigner, de voir ce que l'on peut trouver et pourquoi pas tenter, un jour, d'aller voir un "club", une association pour me rendre réellement compte du véganisme.

En effet, je pense que, dans ce domaine du moins, la pratique réelle des choses et le meilleur moyen de se rendre compte de celles-ci et d'évoluer dans le bon sens.

 

Le manifeste de la Veggie pride:



Le Manifeste ci-dessous a été écrit par David Olivier en 2001 et a servi de plateforme aux précédentes Veggie Pride, jusqu’à celle de 2015.

Ce Manifeste historique dénonce la pression sociale anti-végétarienne qui décourage beaucoup de personnes de franchir le pas de refuser concrètement de consommer des produits animaux. Lorsqu’elles font néanmoins le pas, cette pression sociale, cette végéphobie, les décourage de prendre la parole, ou bien vise à les invisibiliser et les ridiculiser de façon à délégitimer ce qu’elles auraient à dire.
La végéphobie freine avec force le développement d’un mouvement animaliste offensif, en rendant très coûteux à beaucoup d’entre nous de marquer concrètement, en refusant de les manger, notre réticence à exploiter les animaux, mais aussi en nous amenant, pour les mêmes raisons, à montrer patte blanche et rendre de nous-mêmes notre discours inoffensif, gentillet.
La marche annuelle de la Veggie Pride nous propose, en manifestant publiquement, collectivement, de nous donner le courage de nous affirmer le reste de l’année comme objecteurs/trices à l’exploitation des animaux pour leurs chairs.

Depuis, il est apparu également logique que les personnes qui refusent la consommation de viande pour elles-mêmes, par soucis des animaux sacrifiés, soient aussi partisanes de l’abolition générale de cette pratique : lorsque l’on refuse de cautionner telle ou telle pratique parce qu’elle lèse les intérêts fondamentaux des victimes, il y a des chances pour qu’on considère que tout le monde devrait faire de même.
Nous ne sommes pas seulement des objecteurs/trices, nous sommes des opposant-es.

En 2015, nous décidons d’intégrer au projet de la Veggie Pride la dénonciation du spécisme : le spécisme est l’idéologie fondée sur la discrimination basée sur l’espèce, qui justifie l’exploitation animale.
Cette idéologie n’est pas défendable rationnellement et est donc injustifiable : il en découle que l’exploitation animale est injuste. La végéphobie, l’hostilité que rencontrent les végétariens et véganes est une conséquence du spécisme et de l’attachement de notre société à exploiter les animaux et à nous définir identitairement comme humains à l’encontre des autres animaux.

La marche de la Veggie Pride met donc aujourd’hui l’accent aussi sur la dénonciation du spécisme, et l’ensemble de l’événement se redéfinit comme un festival antispéciste.

Lisez ici le Manifeste de la Veggie Pride de 2001 :

Nous, les signataires, voulons :

• Affirmer notre fierté de refuser de faire tuer des animaux pour notre consommation
  Refuser de voler à des êtres sensibles le seul bien qu’ils possèdent, leur propre chair, leur propre vie; refuser de participer à un système concentrationnaire qui fait de cette vie tant qu’elle dure un enfer permanent; refuser de faire ces choses pour le seul plaisir d’un goût, par habitude, par tradition: ce refus devrait être la moindre des choses.
  L’histoire montre cependant à quel point, lorsque la barbarie est la norme sociale, il est difficile de dire non.
  Nous voulons affirmer notre fierté à dire ce « non ».
• Dénoncer la végéphobie
  Pourtant de cela on veut nous faire honte. Le végétarisme est nié, ignoré, raillé, marginalisé quand il n’est pas diffamé.
  Le végétarisme met en cause la légitimité de la claustration et de la tuerie de milliards d’animaux. Par sa simple existence, il rompt l’omertà. Telle est la raison des rires et de la haine végéphobes.
  Bien sûr on tolère le végétarisme inoffensif, celui qui prétend n’être qu’un choix personnel et invoque l’alibi d’une répugnance anodine, de la santé, de l’environnement ou d’un noble ascétisme. Mais malheur à nous si nous contestons ouvertement l’ordre barbare!
  On commencera par en rire. Se soucier des poules et des vaches est paraît-il ridicule. Le ridicule réprime sans arguments les idées qui dérangent.
  Mais si nous ne plions pas, le rire devient jaune. Nous étions des clowns, nous voici des monstres. Des traîtres à notre espèce puisque nous ne lui donnons pas tous les droits. Des parents indignes car nous n’initions pas nos enfants aux joies carnassières. Des émules des nazis parce que Hitler aimait les chiens. Une secte intolérante puisque nous ne pensons pas comme tout le monde.
  On nous accuse d’être terroristes. Ou d’idolâtrer la nature. Ou de refuser ses lois. Tout est bon pour déformer nos propos. Pour nous faire honte, pour nous rejeter symboliquement hors de la société.
  Nous refusons d’avoir honte de notre compassion. Nous ne voulons plus raser les murs. Nous ne voulons plus nous excuser de ne pas vouloir tuer. Nous sommes là, nous vivons, nous pensons et nous le disons.
• Affirmer notre existence
  Rien qu’en France, nous sommes des centaines de milliers à dire non au massacre. La plupart des civilisations se sont interrogées sur le bien-fondé du carnivorisme. Qui en entend parler? Le végétarisme est expurgé des manuels et des biographies.
  « L’homme qui mange de la viande ou le chasseur qui s’accorde avec les cruautés de la nature maintient à chaque bouchée de viande ou de poisson que la force fait le droit. » — Isaac Bashevis Singer, prix Nobel de littérature.
  Affirmer notre existence, dire que nous vivons sans viande, c’est aussi montrer que c’est possible. Nous ne mangeons ni vaches ni porcs, ni poulets ni poissons ni crevettes. Et nous vivons, aussi bien que quiconque, n’en déplaise aux « spécialistes » médiatisés dont la science consiste à nier la réalité. Ni le végétarisme, ni le végétalisme (qui exclut tous les produits de l’exploitation animale, lait et œufs compris) n’ont d’effet négatif particulier sur la santé – les études disponibles montrent même plutôt l’inverse!
  Tuer pour vivre n’est pas une fatalité. Cela n’est nécessaire ni individuellement ni collectivement. Les animaux d’élevage consomment bien plus d’aliments que leurs chairs mortes n’en fournissent. Pourtant, l’argent public est massivement dépensé pour soutenir l’élevage et la pêche.
• Défendre nos droits
  Aux animaux élevés et tués on n’accorde aucun droit ; mais à nous qui sommes solidaires d’eux on en reconnaît, en principe. Nous entendons exercer pleinement nos droits, parce que ce sont les nôtres, et parce que ce sont les leurs, les seuls qu’ils puissent aujourd’hui, indirectement, posséder.
  Nous avons le droit de manger correctement dans les cantines, au travail comme en prison, à l’école comme à l’hôpital ou dans toute autre collectivité. Nous avons le droit d’élever nos enfants sans leur imposer les produits de l’abattoir.
  Nous demandons que l’on cesse d’utiliser nos impôts pour payer la viande ou le poisson des autres.
  Nous tenons à briser le silence qui est fait sur nos idées. Nous ne voulons plus que le seul discours public sur le sujet soit celui des industriels et intellectuels défenseurs de la consommation carnée.
  Nous demandons que l’on accepte le débat.

Nous sommes le miroir de votre mauvaise conscience
et ce miroir ne se cachera plus

Face aux images des monceaux de cadavres d’animaux « détruits » pour cause d’ESB ou de fièvre aphteuse, nous étions seul-e-s à ne pas ressentir de honte. Pour nous. Nous avions honte pour les autres.
Surtout, nous étions tristes. Si nous tenons à affirmer notre fierté à refuser la barbarie, nous n’en éprouvons pas de satisfaction. Les animaux sont massacrés par milliards. On les tient pour muets, leurs cris ne comptent pas. Nous parlerons pour eux jusqu’à ce que le massacre cesse.

Nous sommes des animaux solidaires de tous les animaux !

Manifeste | Veggie Pride Paris [B][/B]

 

Je vous soutiens dans votre cause, seulement il y a cette "haine des végans" de la part de beaucoup de monde!! (Je suis flexitarien, je serais peut-etre vegetarien un jour!!) J'aime beaucoup vos caricatures, je vais en imprimer quelques unes pour mes voisins antilégumes!! La pêche, quel merveilleux moment!!!!!! J'attends le hamecon anti douleur et je ressors mon matériel!! C'est vrai qu'il est difficile de changer son mode de vie!!!
Désolé pour ce post inintéressant et sans continuité, je repasserais si il y a un débat!!

 

Encore un post tres interesant..

Personelement je ne suis pas vegan mais je ne mange pas nonplus des kilos et des kilos de viande j'ais plein d'amis qui sont eux vegan ou bien meme vegetalien avec qui j'ais discuter des condition d'abatage dans les abatoirs, de la sur pèche etc...

Alors voila je pensse que le proble de la consomation de viande (poison,gibier...) n'est pas la consomation en elle meme je peut comprendre que certaine persones puissent manger tout types de viande, mais selon moi le probleme vien tout droit de la surconsomation de viande ou de poisson qui elle pousse de gros industriele et des chalutier a racler le fond de ocean de nos jours ce n'est pas la population qui impose une demande normale de viande par raport aux vrais besoins alimentaire car oui je pensse que la viande n'est pas indispensable dans l'alimentation l'home est homnivore nous mangeons de tout donc selon cette idèe si tout le monde comprenais sa les humains pourais se metre a des methodes alternative d'alimentation en utilisant non pas les animeaux pour l'eurs chaire ou l'eurs fourure mais s'ocuper d'eux l'eurs donner a manger les soigner les animeaux nous le rendrons bien les poules nous donne des oeuf les vache du lait etc...

Des denrès qui elles peuvent etre necessaire dans l'alimentation et qui si bien pratiquer dans le respect du vivant mener a la perte des elevages de masse, des raclage des fonds des ocean car si chacun produit justement ce dont il a besoin pour son alimentation les industriels ne pourais plus crèe ce que j'appelerais "une demande alimentaire fictive" qui est loin de corespondre au veritable besoin de consomation qui serais bien moindre que ce qu'ils produisent chaque annès...

(je sais que je redige pas tres bien mais se sujet me tien a coeur n'esiter pas a me donner vos points de vue )

 

C'est quoi un flexitarien ?...
Trops de termes je ne les conais pas tous

 

En fait, flexitarien, c'est le fait de réguler son alimentation en fonction de ses besoins et de ce qu'on trouve:

Je ne mange jamais de la viande plus de deux fois par semaine, pareil pour le fromage ou le yaourts, du lait une seule fois par semaine, je cuisine sans gras et sans sucres ajoutés, je varie mon alimentation (1fois yaourt de vache, 1autre brebis, ou chèvre, ou par exemple de farine (blé, riz, chataigne,...). (ptn c'est cher la chataigne!!!!!!!!)

Je me soigne le plus possible naturellement (plantes, infusions, miel ou en adaptant mon alimentation).

Enfin, je préfère l'élevage ou l'agriculture extensifs, local et sans emballages.

J'espère avoir été assez clair, c'est vrai que c'est compliqué tous ces régimes!!!
P.-S.:C'est tellement compliqué et assez cher de bien manger, je suis obligé de me restreindre sur d'autres choses!!!

 

A sa oui la chataigne coute un bras ...

Interesant le "flexitarisme" qui est bien adapter a la permaculture et a l'auto confection de ces produit alimentaire, medical, artisanat, vetements... Pas mal non plus pour faire une transition progresive vers le veganisme pourquoi pas...

(merci pour le tableau l'amis je comprendrais mieux les diferent régime je te le pique )

 

Oui, tu as raison, c'est super avec la permaculture!!! Si j' avais la place, je le ferais!!!
Vas-y, ce n'est pas la mienne!!

 

Ouai pour sa ta de quoi sauver des hectars de terain dans toute la France avant qu'on i instale une centrale thermonucleaire pour faire tourner l'elysèe...

Acheter et sauver des hectares de terains naturels en rèinplantant des animeaux des arbres faire des verger des foret comestible partager gratuitement nos surplus la permaculture a un potentiel énorme en terme de protection animale écologique et même sociale un acheteur de terain se doit de le fertiliser lui donner de la vie de l'amour et umpeut de son temps sa prend du temps mais si on si met on peut faire des grandes choses...

 

Oui, tu as raison!!
J'attendrais don d'être majeur et d'avoir quelques sous!!
Je n'ai jamais dit que je n'étais pas majeur, déjà que je fais beaucoup plus jeune que mon âge physiquement, beaucoup trop de personnes ont refusé de me prendre au sérieux à cause de mon âge!!!

 

C'est vrai qu'aujourd'hui les plats préparés "végans", c'est beaucoup de marketing!!
Je te coupe tout de suite, même en cuisinant soi-même, c'est cher de bien manger, bio, local, sans ogm, saloperies et zero déchet!!!
Je n'avais jamais entendu parler de tous ces régimes!! Sinon, il y a aussi macro-bio (salade et graines germées UNIQUEMENT), et je connais une végétarienne qui mange du poisson SAUF du saumon car ce serait "le seul poisson intelligent et qui ressent la douleur"!! Un futur régime à la mode??
Pour ta définition du flexitarisme, je ne connaissais pas!! Ce sont sûrement des gens qui ont pris le meilleur des deux régimes!! Après, c'est vrai, quand on est affamés il faut manger ce que l'on nous offre!!

 

Merci pour tous ces films!!
Je les regarderais demain, il commence à se faire tard pour moi!!