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Recherche « La mécanique raciste », de Pierre Tevanian

Discussion dans 'Recherche de livres' créé par IOH, 14 Mai 2018.

  1. IOH
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    merci !

    parce que j'habite aux Antilles françaises, lieu ou le racisme a permis de moraliser l'exploitation d'humain-e-s noir-e-s et ou on entend dire qu'il existerait un racisme anti blanc-he-s alors que les dominant-e-s (préfets, gendarmes, patrons industriels, gros exploitants agricoles, etc) sont toujours bel et bien blanc-he-s. La haine à leur encontre est pour moi légitime mais ce n'est pas du racisme.
    parce que j'ai besoin de comprendre pour lutter efficacement, merci d'avance.
     
  2. Je lis ton message, alors qu'en haut sur la bande défilante d'info libertaire, je vois plusieurs articles causant de ce Tevanian...
    Il y a un lien entre ta demande et ces articles ?
     
  3. IOH
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  4. IOH
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    bon je me suis peut être un peu précipité sur cet auteur qui fait polémique mais concernant son bouquin "la mécanique raciste", les critiques antiracistes sont consensuelles dans le bon sens.
     
  5. Je ne connais pas cette personne et encore moins ses écrits...
    Je ne me permettrais pas de juger ton envie, ou du moins ta volonté de lire sur ce sujet...
    Mais bon, je crois qu'il y a peu de chance que tu le trouves ici !
    Il a l'air d'être grillé, le gars ! :)

    Concernant le récent délire "racisme anti-blanc", perso, c'est selon moi une grande fumisterie du système dominant, relayée par la fachosphère, qui utilise le racisme, ou surtout un certain communautarisme, de certains blancs, rebeus, noirs, jaunes, bleus... Diviser pour mieux régner ! Un classique des dominants !
    Mais ce racisme/méfiance/peur existe aussi entre ceux de même couleur ! Qu'ils soient blancs, rebeus, noirs, jaunes ou bleus !
    Bref, de la merde qui sert le système et certainement pas le peuple !
     
  6. IOH
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    En fait je suis très d'accord avec ça : (de cet auteur)
    "le racisme anti-blanc est un concept fallacieux et tendancieux, pour la bonne raison que le racisme n’est pas un simple sentiment de haine mais un rapport social de domination, qui peut parfaitement se passer de la haine – et dont les formes les plus hégémoniques se traduisent même par de l’indifférence ou de la sympathie davantage que par de l’antipathie"

    Ici, contrairement en france, on hésite pas à parler de noir, de blanc, de chabin, de métisse, de très clair, de foncé, bref de désigner chaque personne par sa pigmentation exacte.

    tu parles de "récent" racisme anti blanc. je susi pas d'accord sur le "récent" mais On est tout les deux d'accord qu'il n'y a pas de racisme anti blanc car pour cela il aurait fallut être dans une société ou le blanc est le dominé de par sa couleur. ce n'est pas le cas. Par contre le racisme qui consiste à mettre à bas le nègre est bien présent. (plus insidieusement, moins violemment, mais présent)
    J'ai des amies qui se voit vite refouler par leur famille quand elles leur ramènent un chéri plus noir qu'elles. Le racisme est tellement ancré dans les mentalités ici, la référence de l'époque colonial au bétail tellement forte quand tu es nègre, qu'une façon de t'en sortir, c'est d'éclaircir ta peau. L'autre façon, c'est de te battre et de ne cesser de dénoncer. Tu deviens alors là un danger sécuritaire pour tout blanc qui souhaite venir se faire dorer tranquille sans se poser de questions, et pour rabattre ton clapet, on t'accuseras de racisme anti blanc quand tout ce que tu voulais faire, c'est de dénoncer cette mentalité raciste qui perdure aujourd'hui.
     
  7. Quand je causais de récent, c'est de son instrumentalisation/médiatisation que je causais. En fRance métropolitaine, les identitaires ont commencé, puis ça a été repris par la Droite et donc par les Médias.
    T'as en effet raison, taxer quelqu'unE d'oppriméE de raciste ou d'extrémiste permet direct de dévaloriser ses critiques quelles soient antiracistes, antisexistes ou anticapitalistes. Un classique !
    Le racisme entre blancs/moins blancs, noirs/moins noirs est hélas présent. Mais, hélas encore une fois, il existe aussi entre asiatiques (coréens/japonais par ex), entre africains, entre arabes et entre blancs... je ne crois pas qu'il n'est dû qu'au colonialisme... La connerie humaine y est pour beaucoup !
     
  8. IOH apprécie ceci.
  9. IOH
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    ce terme de "france métropolitaine" date des colonies, on le vit donc mal ici. en droit, on parle de territoire européen de la France.
    Ici on dit simplement "la france" et pour être politiquement correct, on dit "france hexagonale" ;) .

    Pour moi le racisme sers à moraliser des dominations. genre, c'est bon c'est des sous hommes, normal qu'ielles fassent des tâches (très) ingrates.

    Je vois que l'auteur que je demande a écrit pour le PIR. Mdr, juste quand il y a polémique sur notre forum là dessus. Me linche pas @Fanya@Fanya je te jure je savais pas.
    Mais j'aimerais quand même bdp avoir accès à ce livre.
     
  10. +1 ! Désolé !
    Si j'ai dit ce terme, c'était pas pour choquer, mais pour accentuer le fait que c'est spécifiquement en Rance hexagonale qu'il y a ces mouvements vraiment identitaires/fachos propageant ce délire "racisme anti-blanc". Je ne crois pas (à toi de me contredire) qu'il y ait aux Caraïbes des mouvements spécifiquement identitaires/skinheads/fachos... Du moins, je l'espère vraiment ! Même si FN et gros cons colons sont bien présents !

    Edit : j'avais parlé de fRance, pas de france ! :)
     
  11. IOH
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    IOH Membre du forum

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    cet article vient d'être enlever. raison donné par indymedia : Troll. C'est dommage, il faudrait qu'on m'explique, décidément entre troll et censure la toile est une vrai jungle. Heureusement pour vnous je l'ai copié avanvt, comme ça vous pourrez me dire si c'est un article de troll parce que moi je l'ai trouvé bien (et ça m'inquiète de trouver bien un truc de troll, bref, t'en pense quoi @allpower@allpower si jamais il y a un truc à y penser. c'est parce qu'il est du PIR? si c'est ça franchement, ils pourraient aussi svp censurer mondialisme.org ) :

    "
    Du racisme anti blanc

    S’il retrouve aujourd’hui une nouvelle jeunesse, une certaine agressivité et surtout une force de frappe médiatique et politique régénérée, ce discours n’est pas nouveau – et cela fait d’ailleurs près de dix ans que nous le combattons au collectif Les mots sont importants. Depuis des années, nous rappelons que le racisme anti-blanc est un concept fallacieux et tendancieux, pour la bonne raison que le racisme n’est pas un simple sentiment de haine mais un rapport social de domination, qui peut parfaitement se passer de la haine – et dont les formes les plus hégémoniques se traduisent même par de l’indifférence ou de la sympathie davantage que par de l’antipathie. De ce point de vue, d’ailleurs, l’agressivité qui se déchaîne aujourd’hui contre Houria Bouteldja et contre la ZEP peut être entendue comme un encouragement, même si elle est aussi lourde de menaces : le racisme qui s’exprime ici est un racisme intranquille, inquiet, qui se sent menacé.

    Depuis des années, nous rappelons aussi que de son côté, la haine n’est pas forcément raciste, et que toutes les haines ne se valent pas. C’est pourtant de cela qu’on cherche à nous convaincre : qu’aimer c’est bien et haïr c’est mal, que la bonhomie est en toutes choses meilleure que la colère, que toutes les haines sont identiques quels que soient leurs objets, et que par conséquent nous devons mettre sur le même plan et rejeter dans la même indignité la haine de l’oppression et la haine du bougnoule – ou, pour reprendre les termes de Mouloud Akkouche [1], que tous les visages doivent communier dans un sourire béat, en jetant la même opprobre sur le rictus du tortionnaire et sur la grimace de sa victime.

    C’est de cette chose insensée et monstrueuse que l’on veut nous convaincre : que toutes les haines se valent, celle des Indigènes de la République contre un système raciste (voire contre ses agents) et celle des blancs, petits et grands, contre lesdits Indigènes : une haine fondée sur un vécu réel et une haine fondée sur des fantasmes et des phobies ; une haine fondée sur une analyse rationnelle et une haine fondée sur un délire idéologique ; une haine fondée sur des principes éthiques (en premier lieu le besoin d’égalité) et une haine fondée sur la peur panique de perdre ses privilèges.

    C’est là me semble-t-il que réside l’intérêt spécifique du procès d’Houria Bouteldja et, au-delà, de l’offensive actuelle sur le « racisme antiblanc » : ils nous invitent à comprendre le sérieux et la légitimité de la colère des opprimé-e-s. Ils constituent en cela une leçon, non seulement pour les fascistes qui envoient des menaces ou saisissent les tribunaux, non seulement pour leurs penseurs organiques ou leurs supplétifs « progressistes », mais aussi pour nous-mêmes. Je pourrais en effet multiplier les exemples de ce vice de pensée et de comportement qui consiste à s’aveugler sur un rapport de domination et à renvoyer dos à dos dominants et dominés, et cela bien au-delà de l’AGRIF, de Finkielkraut ou de Mouloud Akkouche, chez des gens a priori plus respectables.

    La fabrique de l’ordre blantriarcal [2]

    J’ai par exemple assisté, récemment, à la projection d’un film intitulé Ici on noie les Algériens, consacré au massacre d’Octobre 1961 et à sa non-reconnaissance par l’Etat français : le débat public qui a suivi le film a été constamment recadré par des invitations à « prendre du recul », « éviter la haine » et « dépasser la colère » [3]. Comme tout le monde je sais d’expérience combien il est pénible, quand on a subi une offense, de s’entendre dire qu’il faut prendre du recul ou de la hauteur, et je perçois de ce fait assez bien à quel point il est odieux de balancer ce genre d’injonctions à celles et ceux qui subissent une offense quotidienne, massive, systémique – par exemple les homosexuels, les trans’, les femmes, les féministes, les prostituées, les musulmanes voilées, et plus largement les musulmans, les Arabes, Noirs et autres indigènes de la République.

    Toujours dans des cercles proches, on entend encore souvent des camarades gauchistes ou islamogauchistes disqualifier les rassemblements féministes non-mixtes en expliquant qu’ils constituent un « sexisme à l’envers ». Beaucoup de ces camarades débonnaires ne saisissent pas davantage la différence pourtant évidente qu’il y a entre quatre femmes qui parlent des hommes et disent « Tous des salauds » et quatre hommes qui parlent des femmes et disent « Toutes des salopes ». Et ce sont à peu près les mêmes qui tournent en ridicule le principe d’une « Fierté LGBT » en demandant, tout contents de leur trouvaille : « Est-ce que moi je vais défiler dans la rue pour dire que je suis fier d’être hétéro ? ».

    Un dernier exemple, particulièrement abject et pourtant advenu dans un cercle proche : j’ai vu un jour une femme brutalisée physiquement (huit jours d’arrêt de travail) parler avec véhémence de son agresseur, et un autre homme, très mâle, très hétéro, très riche, très blanc et très athée, lui répondre, glacial, qu’il la trouvait « bien agressive », « pleine de ressentiment » et « vraiment pas raisonnable », avant de finalement lui adresser un rappel à l’ordre sarcastique sur sa religion : « Je croyais que l’Islam était la religion du pardon ! ».

    Tous ceux qui parlent ainsi, tous ceux qui se comportent ainsi, que ce soit à l’extrême droite ou que ce soit parmi nous, sont de facto les chiens de garde de l’ordre blanc, et/ou de la domination masculine et/ou de l’ordre hétérosexiste. Qu’ils se présentent comme de vilains sionistes ou comme de gentils islamogauchistes, ils travaillent à la fabrique de cet ordre social que nous sommes censés combattre. Tous à leur manière font la même chose que l’AGRIF et que Mouloud Akkouche... ou que Pierre Desproges ! Tous incarnent, à leur manière et dans leurs microcosmes politiques respectifs, une même tendance fâcheuse dont ont bien parlé Martin Luther King et Christine Delphy : cette tendance qu’ont les dominants à expliquer aux dominés qu’ils ont raison de se révolter mais qu’ils doivent le faire d’une manière plus polie, patiente, civilisée. C’est sur cette tendance, fort répandue loin de nous mais aussi tout près de nous, parmi nous, que nous sommes interpellés, même si dans l’immédiat l’heure est au soutien sans faille à Houria Bouteldja, à Saïdou et à la ZEP, contre les petites cliques de fachos qui les attaquent ou les menacent mais qui ne sont, hélas, que l’avant-garde belliqueuse d’un système raciste beaucoup plus vaste et beaucoup plus puissant. ■"
     
  12. IOH
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    IOH Membre du forum

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    Alors je parle que de la Martinique, les autres îles je ne connais pas assez.
    Donc je te répond Non il n'y a pas de groupe genre génération identitaire (bien que tout dernièrement il y a des tags FN qui sont apparu, vite recolorié par des tags OJAM, organisation de la jeunesse anticolonialiste martiniquaise) mais le racisme est vraiment institutionnalisé. c'est pour cela que j'aime bien ce que dit pierre Tevanian, on est dans un racisme pacifié. Tout va bien, c'est normal, on ne déstabilise pas le pouvoir en place, on fait des jolis commémorations sur l'abolition de l'esclavage mais on aimerait bien être tous blanc, comme en france on aimerait bien être tous bourgeois.
    dans le dernier fanzine que modestement je distribue , j'avais écris ça, tu comprendras peut être mieux :

    COLONISE
    MASQUES BLANCS PEAUX EN
    LAMBEAUX
    Comme marqués au fer rouge, nos actes,
    nos dires et nos pensées sont toujours
    pollués, marqués par la colonisation.
    Pour certain Il s’agit de la mettre en
    boite, en musée quitte à prendre le
    risque de la cristalliser et de continuer à
    s’en servir comme manière à penser.
    C’est à dire qu’au lieu d’intégrer cette
    histoire comme un passé chassé, on en
    fasse un socle de compréhension. Mais il
    n’y a rien à comprendre dans
    l’inhumanité, tout est à rejeter en bloc.
    Il faudrait mieux brûler la colonisation et
    en brûler tous les signes.
    Une des meilleures mémoires est le buste
    décapité de Joséphine sur la Savane : Il
    anéantie par la lutte le symbole de la
    colonisation représenté par Joséphine et
    en même temps sers de mémorial. Car
    c’est bien cela qu’il faut faire, détruire,
    anéantir tout les symboles, système de
    pensée tout en gardant la mémoire de
    qui étaient les femmes et les hommes
    avant, là où ils ont réussi à lutter et là
    où ils ont perpétués les systèmes
    coloniaux, consciemment ou pas.
    Une des clés pour comprendre le
    problème de décolonisation est
    d’accepter que la Martinique soit
    toujours une colonie. Alors il est possible
    de lutter
    Une autre clé est d’accepter qu’il n’y a
    que la lutte qui peut être salvatrice.
    Alors il est possible de lutter
    Une troisième clé est d’intégrer le degré
    de violence extrême qu’a été et qui est
    la colonisation et d’accepter que la
    violence puisse faire partie de sa
    résolution. La violence de la colonisation
    est une violence froide implacable. D’elle
    naît la colère et la violence chaude et
    malléable dont la lutte a le devoir de
    guider pour ne pas contre-servir.
    " Il n’y a pas de mission nègre, il n’y a
    pas de fardeau blanc. Le Nègre n’est pas,
    pas plus que le Blanc. Tous deux ont à
    s’écarter des voix inhumaines qui furent
    celles de leurs ancêtres respectifs afin que
    naisse une véritable communication. "
    (Frantz Fanon)
    Identifions quels sont aujourd’hui ces voix
    inhumaines : Par où passe l’argent ?
    Quels sont les travaux au service de cet
    argent et non plus des hommes. Luttons.
    Pistes : Pourquoi le port de la Martinique
    va agrandir son terminal principal de 460
    mètres ? Pourquoi le projet Galion2 ?,
    pourquoi autant de logements vide,
    pourquoi accepter les bateaux de
    croisières quand on sait la pollution
    incroyable qu’ils génèrent ? à qui ils
    profitent ? Pourquoi est on incapable
    d’organiser des transports en commun ?
    pourquoi la prison de Ducos est pleine à
    craquer ? pourquoi les privilèges des
    békés comme des pontons privatisés
    restent ils dans le paysage ? Pourquoi les
    stocks du pesticide Azulax doivent
    aujourd’hui s’écouler chez nous depuis
    qu’il est interdit en Europe ? Pourquoi
    autant d’Eglises pleines à craquer ?
    Pourquoi autant de militaire et de maison
    de fonction ? Pourquoi accepte t on
    qu’on nous dise que s’il y a autant de
    cancer de la prostate ce n’est pas
    forcément à cause du chlordécone mais
    c’est parce que le noir est plus propice au
    cancer de la prostate ? Pourquoi personne
    dit que l’argent des fonctionnaires
    fonctionne comme une laisse pour la
    Martinique ? La meute des cabris est
    nombreuse, leur enlever leur pitance
    assurerait un gros coup de violence,
    violence inacceptable quand chaque
    homme riche français qui se respecte
    possède ici un yacht ou une maison
    secondaire, alors l’État arrose la
    Martinique pour la garder. Plus de 40000
    fonctionnaires achètent leur pain via
    l’État et ils se disent bien nanti alors que
    leur vie est toute pourrie, obligé au
    sabotage par la paresse pour garder une
    once de liberté. Via ces 40 000, c’est 40
    000 de plus qui vive à coup de léchage de
    botte et de lobbying, une subvention par
    là, un bureau d’étude par ci, même le
    torchon France-Antille en fait son beurre
    en se retrouvant sur tout les bureaux des
    chefs . Où sont les marrons ? Et on
    voudrait sauver la Martinique en en
    faisant la terre du Rhum? Beau
    programme de santé publique.
    Nos masques sont toujours blancs (à
    l’école il est de bon ton d’être chabin et
    mauvais d’être coolis, à l’Etat il est de
    bon ton d’aider Saint Martin, mauvais
    d’aider la Dominique) et nos peaux sont
    en lambeaux à force d’hypocrisie.
    IOH, 2018
     
  13. Fanya
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    Fanya Membre du forum Compte fermé Membre actif

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    Août 2015
    Austria
  14. social-démocrate
    Tevanian n'est pas au PIR mais il en est proche, il soutien le parti et ses militants. Il navigue dans les eaux boueuses de "l'antiracisme postcolonial" en s'acquocinant les pires (l'extrême droite, des anti avortements toussa). Le Tevanian de "La lepenisation des esprits" est mort. A éviter.
     
  15. IOH
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    France
    Ok. En tout cas chez indymedia bruxelles il est censuré à mort. ça fait un peu bizarre de voir 3 articles censuré en moins de deux, quand il y en a un que tu(je) trouvais bien. Je t'avoue que j'aimerai bien en savoir plus, c'est quoi les eaux boueuses de l'antiracisme postcoloniale ? ( je sais qu'il ne faut pas "donner à manger aux trolls" mais j'aimerai bien quand même en savoir un peu plus...)